Cette semaine, le thème du projet 52 est regarder en arrière. On peut l’illustrer de façon littérale, en regardant derrière soi ou en jetant un œil dans un rétroviseur. On peut également l’illustrer de façon plus métaphorique, en s’intéressant au passé, que ce soit le sien ou un passé collectif. Alors, j’ai choisi de me pencher sur les mais passés. Par exemple :
En 2020, après une période de confinement et alors que nous avions encore pas mal de restrictions de circulation, ma voiture a décidé de casser son moteur.
En 2016, j’emménageais dans ma maison actuelle, et pas une seule fois depuis je n’ai regretté mon choix de logement.
En 2013, nous adoptions Vador.
J’étais donc partie pour rechercher des photos de ces évènements du passé. C’est comme cela que je suis retombée sur un dossier qui contenait des cartes postales anciennes que j’avais numérisées (à l’époque, j’avais envisagé de faire une série en avant/après mais je n’en ai jamais eu le temps). Parmi ces cartes postales, il y a celle-ci d’une rue du village de mon enfance, prise dans les années 1940 au sortir de la guerre. Et si j’ai choisi cette image en particulier, c’est parce que mes grands-parents sont dessus. En regardant la façon dont ils se tiennent, je sais qu’ils sont en train de rire !

Pour découvrir comment les autres participants regardent en arrière, il suffit de suivre les liens dans les commentaires.
A noter : ce samedi, je le passe avec des copains que je n’ai pas vus depuis longtemps. Si vos commentaires ne s’affichent pas parce qu’ils sont partis en modération, je viendrai les valider dans la journée de dimanche, quand tout le monde sera reparti.

