[projet 52-2021] semaine 19 – les animaux de la maison

Cette semaine, avec le projet 52, je vous invite à nous montrer les animaux qui peuplent les maisons.

Enfant, il y a toujours eu des chiens à la maison. Je me souviens de Pataud qui était déjà là quand je suis née. Je me souviens de Bobby, un épagneul breton que j’étais allée chercher avec mon père dans une ferme alors qu’il était bébé et qui avait fait le trajet jusqu’à la maison avec moi sur le siège arrière de la voiture. Je me suis d’Octogone, dite Toto, une surprise que mes parents nous avaient faite au retour de vacances, une crème de chien qui a supporté toutes nos idées saugrenues, qui se baladait avec une boule de Noël accrochée à son collier tout le mois de décembre, qui allait toute seule se baigner à la rivière l’été, qui était sans doute parmi les chiens les plus connus du village, qui allait et venait à sa guise au fil des ouvertures de la porte du magasin par les clients (et qui n’a jamais posé un seul souci à quiconque !). Je me souviens de Nonagone, dite Nona, arrivée peu de temps avant mon départ définitif de la maison.

Mais, c’est d’un chat dont je rêvais. Or, pour d’obscures raisons, mes parents ne voulaient pas de chat. Avec ma sœur, nous avons pourtant essayé de les faire changer d’avis. Nous avions même été jusqu’à convaincre un ami de mon père de nous apporter un chaton, certaines que la vue de ce bébé chat les ferait craquer (et comme mes parents ont maintenu leur « non » même une fois le chaton à la maison, celui-ci a adopté par mes grands-parents, au jardin… ). Finalement, c’est alors que j’étais déjà étudiante qu’un chat a fait son arrivée dans la maison familiale (donc, une fois que je n’y habitais plus à plein temps… vous noterez le sens du timing ! ). Malgré tout, Tibulle a toujours été « mon » chat plus que celui des autres membres de la famille. J’étais la seule qui pouvait n’importe quand l’approcher et la câliner (et ensuite, Mr 1er a eu le même privilège).

Alors il était évident pour moi que j’aurais un jour mon chat… Pour plein de raisons (plus ou moins valables avec le recul), cela a pris un peu de temps (on a bien eu quelques poissons entre temps, mais ce n’est pas pareil !). Puis, Vador est arrivé, un peu par surprise et c’est maintenant comme s’il avait toujours été là !

Après ce blabla, vous devez vous attendre à ce que je vous montre une photo de Vador… et bien, ce ne sera pas le cas ! Le chat sur la photo a la même mère que Vador, et vit au centre équestre. Un soir, en attendant Mr 1er et Melle 3e, je me suis assise à l’une des tables et elle est venue. Après quelques caresses, elle s’est installée pour une petite sieste… comment ne pas craquer ?

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Afin que le tableau soit complet, je me dois d’y ajouter : les tortues de Floride de ma sœur, la multitude d’oiseaux de ma grand-mère, la basse cour de mon grand-père avec ses poules, ses canards, ses oies, ses pigeons, ses dindes et ses lapins… ainsi que les poules que j’avais installées dans le jardin de mon ancienne maison.

Enfin, je n’oublie pas Skaven, le chat que mes parents ont adopté bien après mon départ de la maison, Wallace, l’ex-lévrier de course qui a passé une retraite paisible chez mes parents et Mélodie, la charmante Yorkshire de ma mère.

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Pour voir les animaux de la maison chez les autres participants, il suffit de suivre les liens dans les commentaires.

[petits moments] détails félins

Il m’arrive régulièrement de m’amuser à prendre Vador en photo… C’est un modèle plutôt facile, surtout s’il dort (sinon, il cherche à éviter l’appareil photo ! ). Ce jour-là, je me suis plus particulièrement intéressée à ses pattes et aux dessins formés par ses coussinets…

Vous aussi, vous voyez un nounours dans les coussinets ?

J’ai aussi essayé de capter son regard…. sans trop me faire repérer !

A la maison – février 2021

[Drôme] fin de journée sur Chabeuil

Fin de journée sur le village et l’église de Chabeuil

Quand la lumière dore les murs des maisons du vieux village, il est l’heure de se diriger vers la colline de la Gontarde pour admirer la fin de journée.

Avant la nuit, il est encore temps de traverser la petite forêt qui surplombe la colline, véritable havre de vie sauvage préservée, à deux pas du cœur du village.

Au loin, au delà de la plaine de Valence et du fleuve, la silhouette de la montagne de Crussol et des monts d’Ardèche se dessine légèrement tandis que le ciel s’obscurcit au dessus des toits de tuile.

Doucement, le soleil descend vers l’horizon. Le ciel prend des teintes orangées juste avant que l’astre ne se cache derrière les montagnes. Un dernier coup d’oeil à la Vierge du Voeu et il est temps de redescendre.

Sur le chemin du retour, je croise seulement un chat… qui me toise du haut de son muret !

Dans le bois de la Gontarde

Par dessus les toits du village…

Doucement, le soleil se couche…

Coucher de soleil au pied de la Vierge du Voeu

Chabeuil – Drôme – novembre 2020

[petits moments] profiter du calme de la maison

Alors que les journées sont encore chaudes, que le rythme de travail a repris de façon déjà soutenue, il est bon d’être un peu au calme dans la fraîcheur (relative) de la maison…

J’ai repris un bouquet de fleurs à la productrice locale en passant au marché.

Vador profite des rayons du soleil tout en restant à l’ombre des rideaux…

J’ai acheté quelques chouquettes pour accompagner le thé…

[petits moments] en passant par Montluçon

Dimanche dernier, sur la route de retour de Bretagne vers la Drôme, j’ai fait un arrêt à Montluçon. Je reviendrai en détail sur ma balade dans la ville dans un billet plus complet, mais voici déjà des petits moments… en passant !

Il y a d’abord eu ce chat installé sur son rebord de fenêtre, pas vraiment dedans, pas vraiment dehors.

Faire tenir une église dans un verre… jeu de reflet clin d’oeil à Oth !

Alors que le soleil se couchait, il jouait joliment dans les jets d’eau de l’avenue Marx Dormoy.

Et en allant chercher un café avant de reprendre ma voiture, je suis passée au pied d’un immeuble Art Déco qui présentait une jolie mosaïque, sur l’avenue Marx Dormoy .

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Liste des articles sur ce passage à Montluçon :

[petits moments] entre le 11 et le 14 juillet 2020

SAMEDI 11 JUILLET. Passage à Valence dans une rue que je connais peu.. L’occasion de découvrir de bien jolies façades !

rue du Parc – Valence

La météo actuelle est idéale pour déguster un bon cold brew coffee

Cold brew coffee

(*) Travel Café, rue Madier de Montjau, 26000 Valence

DIMANCHE 12 JUILLET. Le bouquet de la semaine associe agapanthes et ornithogales. J’aime beaucoup ce style de bouquet simple et épuré.

(*) Fleurs d’Eucharis, rue des Alpes, 26000 Valence

Je suis allée retrouver des amis qui avaient fait une balade à cheval pour un goûter/papotage au centre équestre… et j’y ai trouvé plusieurs chatons que je ne connaissais pas encore….

LUNDI 13 JUILLET. Retour en selle pour Mr 1er… et pendant ce temps, j’en profite pour tirer le portrait des chats !

MARDI 14 JUILLET. En passant rapidement au marché le matin, j’ai trouvé des fraises de second choix délicieusement parfumées et à un prix dérisoire… J’en ai donc profité pour faire un peu de confiture.

[Drôme] dans les ruelles de Mirmande

Cela faisait plusieurs années que je n’étais pas allée à Mirmande. Classé parmi Les Plus Beaux Villages de France, sélectionné en 2018 pour le village préféré des français, on ne peut pas dire que les lieux manquent de charme !

Installé sur un promontoire rocheux depuis le XIIe siècle, Mirmande s’est développée autour de celui-ci au cours du Moyen-Âge, puis a connu une forte activité liée à la sériciculture (l’élevage des vers à soie). Lorsque cette activité a décliné, le village aussi.

Dans les années 1920, le peintre cubiste André Lhote découvre Mirmande, y installe son académie d’été, et fait renaître le village. De nombreux artistes viendront depuis lors séjourner à Mirmande. De façon plus récente, le volcanologue Haroun Tazieff, maire du village dans les années 1980, oeuvrera pour la préservation du patrimoine et le classement de celui-ci.

Mirmande est un village qui se mérite ! Déjà, il est très fréquenté et la situation géographique ne permet pas d’avoir de grands parkings. Il ne faut donc pas avoir peur de devoir chercher un peu un stationnement, et de devoir marcher pour rejoindre le village. Ensuite, puisqu’il est perché, Mirmande est un village escarpé, aux ruelles pavées de galets ou aux sentiers de terre battue.

Mais cela vaut la peine de rejoindre le haut du village et le parvis de l’ancienne église Sainte Foy (devenue centre d’art). De là-haut, le panorama sur l’Ardèche et la vallée du Rhône est splendide. Plusieurs chemins sont possibles pour monter jusques là.

Comme à mon habitude, je n’ai pas suivi de plan, mais j’ai déambulé au fil des ruelles et des escaliers, j’ai fait des tours et des détours… et surtout, je n’ai pas pris le même chemin pour monter et pour redescendre ! Cela permet de découvrir divers points de vue sur le village et ses alentours, de prêter attention aux détails des vieilles maisons, de croiser quelques chats..

Le village comporte plusieurs boutiques de créateurs et ateliers d’artistes auxquels il peut être intéressant de jeter un oeil. Enfin, j’ai terminé par un café en terrasse, pour le plaisir de profiter de l’instant….. et quelques achats au petit marché présent sur la place de l’église en bas du village le samedi matin !

L’ancienne crémerie du village a conservé son enseigne (et abrite maintenant un magasin de souvenirs/salon de thé)

Passer la porte de la deuxième enceinte et commencer à monter dans le village

Vieille porte et ruelle escarpée

Faire attention aux détails

Ambiance provençale

Vue sur la vallée du Rhône et l’Ardèche

rencontre timide du jour…

Mirmande – Drôme – juillet 2020

(*) Mirmande étant très fréquentée, je vous conseille d’y aller assez tôt le matin : il sera plus facile de se stationner, il y aura moins de monde dans les ruelles… et en été, il y fera beaucoup moins chaud que plus tard dans la journée. Par exemple, cette fois, j’y suis allée vers 9.00 du matin un samedi, et j’ai croisé peu de monde jusques vers 10.30/11.00.
La plupart des bars et restaurants sont situés dans le bas du village. Il est sans doute recommandé de réserver si vous souhaitez déjeuner (lors d’une précédente visite, je n’avais pas trouvé de place à l’heure du déjeuner..)

(**) Pour les cinéphiles, vous retrouverez à Mirmande les lieux de tournage du film L’Incroyable Histoire du Facteur Cheval de Nils Tavernier avec Jacques Gamblin et Laetitia Casta. D’ailleurs, souvenez-vous, cela m’avait perturbé de ne pas retrouver l’architecture de la Drôme des Collines et ses maisons de galets en arêtes de poisson lorsque j’avais regardé le film !

[photos] portraits de chats

Quand j’étais adolescente, les cartes postales avec des photos de chats étaient à la mode, et j’en avais fait toute une collection. J’avais également des livres de photos sur les chats des îles grecques. J’en ai gardé une certaine attirance pour les portraits de chats !

Quand l’occasion se présente comme c’était le cas ce week-end, je ne manque pas d’en profiter !

juillet 2020

[journal de confinement] semaine 5

Tant que le confinement continue, ce journal de confinement fait de même.
Vous pouvez retrouver les semaines précédentes en suivant les liens :
Semaine 1
Semaine 2

Semaine 3
Semaine 4

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SAMEDI 11 AVRIL. Le soleil brille et c’est un plaisir que d’avoir les fenêtres ouvertes toute la journée. Ce samedi s’écoule doucement entre repos et cuisine.

Séance photo spéciale Pâques….

DIMANCHE 12 AVRIL. Jour de Pâques. J’ai trouvé il y a quelques jours des moulages de Pâques à la boulangerie. Ils feront l’affaire compte-tenu des circonstances actuelles, et nous irons chez le super chocolatier « en ville » une autre fois.

Un curieux s’est glissé sur cette photo….

LUNDI 13 AVRIL. Pour la première fois depuis quatre semaines, j’ai pris la voiture (certaines choses ne peuvent pas être faites à pied… c’était le cas). J’ai pu voir que plein de choses sont en fleurs : les arbres de judée, les premiers lilas, les coquelicots…. C’est qu’en limitant mes sorties à aller faire mes courses dans un périmètre très restreint, je n’avais pas vraiment eu l’occasion de voir de la « diversité florale » !
Nous avons déjeuné dehors pour la première fois de l’année. C’est toujours un plaisir que de pouvoir profiter de la cour…

Café en terrasse

MARDI 14 AVRIL. Le petit bonheur du jour, c’est qu’on a réussi à complètement installer mon nouvel ordinateur du bureau à distance. Cela devrait améliorer un peu mes conditions de travail, avec un peu moins de plantages ! L’ancien commence à être vraiment en bout de course. Il faut dire que je m’en sers beaucoup et surtout qu’il bouge énormément entre les aller/retours à la maison et les déplacements. Il n’a donc pas été ménagé ces dernières années !

Premier repas non préparé à la maison depuis le début du confinement : je suis allée chercher des pizzas à la pizzeria voisine….

MERCREDI 15 AVRIL. Je ne travaille que le matin… l’occasion de profiter du soleil dans la cour et de pâtisser l’après-midi. J’ai aussi tenté de me reposer car je suis très fatiguée en ce moment, sans que je parvienne à en identifier la cause (même si je pense que l’absence de grandes randos/balades joue…) .
Melle 3e a fêté son anniversaire. Et le gâteau préparé selon ses désirs était vraiment bon !

Avec les bougies, comme il se doit !

JEUDI 16 AVRIL. C’est la journée des livraisons. Le matin, c’est le lapin de Pâques un peu aidé par Sev et le livreur qui a sonné à la porte ! Encore merci !
Et le soir, c’était ma livraison de produits frais et locaux : viande, fromages, yaourts et légumes.

La livraison du lapin de Pâques qui n’est vraiment pas raisonnable… mais a très bon goût !

VENDREDI 15 AVRIL. Le vendredi, depuis le début du confinement, c’est le jour de mes courses hebdomadaires. J’essaie de me tenir à une sortie d’approvisionnement par semaine, et comme me le faisait remarquer ce matin l’épicière, je m’y tiens plutôt bien ! Le challenge reste de réussir à les faire en moins d’une heure en passant par les cases boulangerie, épicerie, boucherie (et pharmacie ce matin, pour racheter du bon savon).

La fatigue de chacun commence à se faire nettement sentir. J’avais déjà remarqué que le week-end, si je ne bouge pas assez, je ne me repose pas vraiment… alors là au bout de 5 semaines, cela devient un peu compliqué. Il va falloir trouver des substituts !