C’est maintenant devenu une tradition sur le blog : chaque fin d’année, je dis au revoir à celle-ci en faisant un petit bilan de ce qui s’y est passé. Ce résumé ne concerne que ce j’ai pu vivre tout au long de l’année, des évènements qui m’ont concernée directement ou indirectement. C’est avant tout une façon de se rendre compte à la fois du chemin parcouru et de tout ce qui a rempli cette année qui s’achève. Je vais utiliser une trame similaire à celle que j’ai suivie ces dernières années (pour mémoire, vous pouvez retrouver sur le blog les bilans des années 2019, 2020, 2021 , 2022 et 2023).
Côté photo
Le projet 52 a une nouvelle fois été très suivi cette année. Je vous remercie de toutes vos participations au cours des cinquante-deux semaines qui viennent de s’écouler. C’est chaque semaine avec plaisir que j’ai découvert vos différentes participations. Et c’est votre implication qui me motive à continuer. Rendez-vous donc pour le projet 52-2025 !
Côté professionnel
L’année 2024 a été marquée par un énorme changement professionnel. J’ai en effet début janvier quitté l’entreprise où je travaillais depuis douze ans pour un nouvel emploi. Plusieurs éléments ont motivé mon choix, en particulier liés aux décisions stratégiques prises par mon ancien employeur et qui n’étaient plus en phase avec mes valeurs. Au passage, j’ai abandonné les allers-retours à Lyon et je travaille maintenant à un quart d’heure de la maison, ce qui est vraiment impactant sur ma vie quotidienne et le fameux équilibre vie pro-vie perso.
J’ai participé à la convention nationale de ma nouvelle entreprise à l’Alpe d’Huez au mois de juin
Côté balades des weekends & des fins de journées
Cette année a encore été très remplie. J’ai passé un week-end à Paris pour revoir les copains, et certains sont venus me voir dans la Drôme. J’en ai également retrouvé sur Lyon, où je me suis rendue à plusieurs reprises pour diverses occasions au cours de l’année. J’ai également profité de la montagne en hiver, avec la neige ou sans. Durant les vacances de février, nous avons passé une belle journée à Aix en Provence avec Melle 3e (et j’y suis retournée en novembre avec Mr 1er). Nous avons aussi eu l’occasion d’aller (re)découvrir le zoo d’Upie, pas très loin de la maison. Je suis comme chaque printemps allée voir les iris et chercher les orchidées.
Avec mon nouvel emploi et le bac de Melle 3e en juin, nous n’avons pas eu beaucoup d’occasion de partir en vacances avant l’été. Mais nous nous sommes alors bien rattrapées. Nous avons commencé par un road-trip Châteaux & Chevaux en 2 actes : autour de Chambord et autour de Saumur/Angers. Puis nous avons passé 2 semaines en Bretagne avec au programmation nos lieux favoris : Cancale, Le Mont Saint Michel, Granville, la côte d’Emeraude, Fougères… Et nous avons également passé 2 jours en forêt de Brocéliande.
Et j’ai eu le bonheur de passer de nouveau quelques jours de vacances en Bretagne pour Noël, et cette fois, j’étais accompagnée de Mr 1er, Mr 2e et Melle 3e… La dernière fois que nous avions passé quelques jours de vacances tous ensemble remontait à Noël 2021 !
Côté culture
Cette année 2024 a été très riche en évènements culturels. Ainsi j’ai eu le plaisir d’assister à plusieurs concerts dans le cadre du Festival Mozart, ainsi qu’à un concert de Ben l’Oncle Soul, Charlie Winston, Nash et Ben Mazué dans la cadre d’un évènement privé. Je suis également allée au théâtre voir une représentation de l’Histoire d’un Cid à Grignan, et d’une adaptation du Montespan de Jean Teulé à Romans.
J’ai aussi visité plusieurs expositions et musées, en plus de tous ceux découverts durant les vacances :
Depuis que je ne prends plus le TGV, je suis quand même restée en contact avec mes anciens camarades de galères SNCFesques. Ensemble, nous sommes plusieurs fois allés au restaurant mais nous avons aussi improvisé une visite d’iriseraie.
J’ai aussi participé à plusieurs rencontres entre passionnés de la région, qu’il s’agisse d’instagrammeurs ou d’éclaireurs pour partir-ici.fr . J’ai ainsi entre autres eu le plaisir de :
Partir à la cueillette des champignons sur le plateau ardéchois et manger un jambon en croûte de foin préparé par les chefs 3 étoiles Régis et Jacques Marcon
Assister aux sommets du tourisme de la région Auvergne Rhône Alpes
J’ai continué à poster et échanger avec vous sur Facebook et Instagram, en complément d’ici, dans des formats souvent plus allégés. Je me suis aussi lancée sur TikTok et sur Threads, toujours avec le même pseudo ducotedechezma. Vous pouvez m’y retrouver si vous le souhaitez.
Cette année, j’ai, sans vraiment le chercher, eu une vidéo qui a fait le buzz. Un plan fixe sur le chef triplement étoilé Régis Marcon en train d’ouvrir un jambon en croûte de foin a dépassé les 2 millions de vue sur Meta (Instagram et Facebook confondus) et les 340 000 vues sur TikTok. Je crois que presque 3 mois après, j’ai encore du mal à réaliser !
Après cette capture écran courant octobre, ce reel a continué à vivre sa vie et les chiffres à monter doucement….
Et pour 2025 ?
Après une année 2024 riche en changements et en rebondissements, 2025 devrait correspondre à une phase de stabilisation. Bien entendu, il y aura encore de multiples balades et découvertes, proches mais aussi j’espère un peu plus lointaines. Et n’oubliez pas : l’aventure commence au bout de la rue !
Comme chaque année, j’ai pas mal hésité avant de relancer un projet 52 en photos. En effet, cela me demande du temps chaque semaine et entre le travail, les enfants qui sont éparpillés et mes autres activités, j’ai parfois un peu de difficulté à assurer. Ainsi, l’année dernière, j’ai à nouveau souvent manqué de temps, entre semaines très chargées et week-ends bien remplis. La conséquence directe a été que je suis souvent venue jeter un œil à vos participations bien après la fin du week-end. Malgré tout, j’ai apprécié vous retrouver tout au long de cette année 2024 (et je vous remercie d’ailleurs de votre fidélité).
Je sais que 2025 sera tout aussi intense que 2024 (ce n’est pas la peine de se bercer d’illusion : j’aurai tout autant de sujets à mener de front !). Je sais que cette année encore, je ne serai pas toujours très disponible le week-end. Mais, je sais que vous aimez ce rendez-vous du samedi, et j’avais envie de continuer avec vous cette jolie dynamique (qui est, je dois l’avouer, très motivante). Alors, après moult tergiversations, je suis ravie de vous présenter les thèmes pour l’année 2025 du projet 52 du côté de chez Ma’ !
J’attends donc les fidèles participants mais aussi tous ceux qui auraient envie de nous rejoindre, même ponctuellement dans cette aventure à compter de samedi prochain.
Les règles du projet 52 Du côté de chez Ma’
Côté règles du jeu, il n’y aura encore pas de modifications cette année…
un thème par semaine, sachant que la 1ère semaine est la semaine qui arrive (ma photo sera donc en ligne samedi prochain, 4 janvier 2025)
une photo prise par vous(j’insiste sur ce point car c’est l’essence même de l’exercice : faire des photos ! )
une publication chacun sur son blog ou sur Instagram avec le hashtag #projet52dema (et, idéalement, en taguant également mon compte Instagram @ducotedechezma)
un commentaire à mettre avec le lien vers votre billet (ou vers la photo sur Instagram) sous mon propre billet du projet 52 pour la semaine (que je continuerai à publier le samedi)
aucune obligation : chacun publie quand il veut, quand il peut…
Pour découvrir les autres participations, il faudra suivre les liens déposés en commentaires. Je ne ferai en effet pas de récapitulatif des participations car cela demande énormément de temps (et si vous avez suivi, c’est une denrée dont je dispose en quantité assez faible..). Je me réserve aussi le droit d’un délai dans la validation des commentaires qui passeraient en modération car ma vraie vie ne se passe (toujours) pas sur internet !
Au plaisir de vous retrouver sur le projet 52-2025 donc!
Préambule : La fin de l’année est dans quelques jours, et comme je l’ai annoncé samedi dernier, il y aura bien un projet 52 en 2025 ! La liste des thèmes sera postée demain pour une première participation le 4 janvier. En avant-première, j’ai envie de vous confier dès maintenant le premier thème pour 2025 (celui du 4 janvier donc). Ce sera « Début » .
Résumer l’année écoulée en une seule image. J’aime beaucoup cette idée que je vous avais déjà proposée dans le projet 52-2023 et dans le projet 52-2022. Comme ces deux dernières années, je me suis replongée dans les photos que j’ai prises depuis le 1er janvier afin de décider laquelle sera celle qui m’a le plus marquée, qui me rend un peu fière ou qui me rappelle le plus beau souvenir. (Je prépare un petit bilan de cette année 2024 d’ailleurs également.) J’ai, comme chaque fois, eu du mal à choisir. Après pas mal de réflexion, j’ai choisi une photo d’une aurore boréale à côté de chez moi. J’avais tellement été déçue quand j’avais loupé celles du mois de mai que j’ai encore plus savouré la chance d’en voir une en octobre, et de réussir à la photographier. Ce n’est certainement pas la photo la plus techniquement réussie ou réfléchie de cette année 2024, mais cela restera à jamais un de mes plus beaux souvenirs photographiques.
Barcelonne – Drôme – octobre 2024
Pour voir les photos de l’année des autres participants, il suffit de suivre les liens dans les commentaires.
A noter : je suis en famille aujourd’hui, et bien décidée à profiter de ces moments qui deviennent de plus en plus rares… donc, autant dire que je ne vais pas avoir beaucoup de temps pour passer par ici valider les commentaires qui partiraient en modération. Je le ferai cependant dès que possible, ce soir ou demain.
Je profite de cette dernière semaine du projet 52 en 2024 pour vous souhaiter une très belle fin d’année, en espérant vous revoir dès la semaine prochaine sur le projet 52 pour 2025 !
Préambule : La fin de l’année approche et certains d’entre vous m’ont déjà demandé s’il y aura de nouveau un projet 52 en 2025. La réponse est oui ! La liste des thèmes sera postée le 29 décembre pour une première participation le 4 janvier. J’espère vous retrouver donc encore fidèles au rendez-vous tout au long de l’année 2025. Et bien entendu, tout le monde est bienvenu donc n’hésitez pas à nous rejoindre.
Alors que nous abordons les dernières semaines de 2024, le projet 52 nous propose d’illustrer les fêtes de fin d’année. Les possibilités sont vastes, des festivités publiques aux moments plus intimes. Parmi mes idées, il y avait une jolie table, une jarre de bonbons aux papiers brillants, les lumières dans le sapin, de jolies vitrines… Mais c’est une photo en extérieur que j’ai choisie. Alors que je me promenais à Romans pour photographier les illuminations de Noël, j’ai longé les quais de l’Isère. De l’autre côté de la rivière, la ville de Bourg de Péage avait aussi mis en lumière sa mairie et la place autour. De là où j’étais, avec le reflet dans les eaux noires, j’avais l’impression d’assister de loin à une fête un peu féérique et d’y être invitée.
Bourg de Péage depuis Romans – Drôme – décembre 2024
Pour découvrir les fêtes de fin d’année dans l’objectif des autres participants, il suffit de suivre les liens en commentaire.
A noter : ce week-end va marquer le début des festivités de fin d’année en famille chez moi. Je n’aurai donc pas vraiment le temps de me connecter pour valider les commentaires qui partiraient dans le système de modération. Je viendrai m’en occuper dès que possible, mais il y a de fortes chances que ce ne soit qu’à la fin du week-end…
Chaque mois de décembre, alors que Noël approche, villes et villages se parent de lumières et de décorations de fêtes. Au cœur de l’hiver, les ambiances joyeuses viennent réchauffer l’atmosphère. Chaque mois de décembre, je parcours les villes et villages autour de chez moi pour aller capturer un peu de cette magie qui affleure sous les lumières et les papiers brillants. Venez, je vous emmène découvrir l’édition 2024 avec mes grands classiques : Valence, Romans et Saint Vincent la Commanderie.
Place des Clercs à Valence
La magie moderne à Valence
Les illuminations de la ville de Valence sont toujours résolument contemporaines. Année après année, les installations se renouvellent même si on en revoit de temps à autre. Leur point commun est d’être pleines d’originalité et il n’est pas rare d’en avoir certaines dans de très grandes villes les années suivantes. Par exemple, j’ai repéré sur les réseaux sociaux que les lustres qui étaient posés sur la place du Champ de Mars en 2021 sont cette année à Montréal. Je dois cependant avouer que si je les trouve sympas (et très photogéniques), certaines de ces installations ne me projettent pas vraiment dans la magie de Noël. Heureusement, les rues se parent de guirlandes et boules lumineuses.
Mon Cœur Valence est éclairé par quelques lampes de bureau géantes (il y a quelques années, ces lampes étaient sur la place Aristide Briand)Des installations d’inspiration végétale au pied du kiosque PeynetSi je trouve ces clochettes jolies, j’y vois des brins de muguet qui ne me semblent pas réellement de saisonJ’aime beaucoup ces fleurs que je trouve très poétique. Installées devant la gare, elle s’associent bien avec la jolie façade.
En complément, il y a comme chaque année le village de Noël qui longe les boulevards. Les chalets permettent de faire quelques achats de Noël, mais aussi de manger sur le pouce dans une ambiance conviviale. On peut également prendre un vin chaud (avec modération) ou un jus de pommes épicé chaud, pour se réchauffer. Et, il y a aussi la désormais traditionnelle grande roue qui a pris place à côté de la fontaine monumentale. Je vais généralement y faire un tour (en essayant d’éviter les jours de mistral..) en famille ou avec les copains. D’en haut, la vue sur la ville est magnifique.
Prêt à prendre de la hauteur avec la grande roue !
(*) Le village de Noël est ouvert jusqu’au 24 décembre 2024. Les illuminations de Valence sont visibles au fil des rues jusqu’au 8 janvier 2025. Elles sont éclairées chaque soir à la tombée de la nuit. La grande roue tourne jusqu’au 12 janvier 2025, à côté de la Fontaine Monumentale. Edit du 31/12/2024 : suite à un problème technique, la grande roue de Valence est à l’arrêt jusqu’à la fin de sa présence valentinoise pour cette saison.
La magie traditionnelle dans les rues de Romans
A Romans, par contre, les décorations lumineuses de Noël reprennent des motifs beaucoup plus traditionnels, à base de lutins, de Pères Noël, de bonhommes en pain d’épice et d’animaux polaires. La place Jean Jaurès est transformée en une esplanade de rêve pour les enfants (et les plus grands aussi). Au son de musiques de Noël, il est possible de courir d’une structure lumineuse à l’autre. Clairement, la magie brille dans les yeux des enfants.
L’orchestre du Père Noël, prêt à rocker…
Un peu partout dans la ville, on retrouve aussi des structures lumineuses, que ce soit vers la tour Jacquemart ou la collégiale. Les rues sont parées de guirlandes. Et sur la place Jules Nadi, les arbres accueillent de grandes boules colorées.
Place Jules Nadi, les arbres sont illuminés
Mais, ce qui m’amuse le plus, ce sont les jeux de reflets dans les boules qui ornent les sapins. Avec toutes les lumières autour, c’est un terrain de jeu photographique est fantastique. Je peux y passer des heures pour tenter d’attraper le reflet parfait… sans y arriver !
Reflets dans les arbres lumineux de la place Jules NadiReflet d’un des lutins du Père NoëlUn ourson dans un sapin..Selfie de Noël
(*) Les décors de Noël à Romans sont allumés tous les matins à partir de 6.30 jusqu’à 8.00 et tous les soirs entre 17.30 et minuit, jusqu’au 12 janvier 2025
La magie du fait maison à Saint Vincent la Commanderie
Cette année, j’ai quelque peu bravé la météo pour aller voir les décorations à Saint Vincent la Commanderie. En effet, le jour de l’inauguration, et seul jour où j’avais assez de temps pour y faire un saut, il y avait un brouillard à couper au couteau. Tout le village semblait emmitouflé dans un voile cotonneux, apportant une touche de mystère à la magie de Noël.
Un village dans le brouillard
Ce qui fait la particularité des décorations de Noël à Saint Vincent la Commanderie, c’est que ce sont les habitants qui décorent. Chacun est invité à installer une saynète ou un sapin devant sa maison ou sur le rebord de sa fenêtre, ou encore à suspendre des boules dans les arbres de son jardin. La part belle est faite à la récupération ainsi qu’au réemploi de matériaux et d’objets. Le résultat est donc forcément hétéroclite, mais il a le charme du temps investi par les bénévoles qui organisent le projet et l’ensemble des habitants. A Saint Vincent la Commanderie, on retrouve une forme de simplicité dans la magie de Noël.
famille de rondinsmini crècheexposition de jouetsupcyclingbonhomme de neigefamille de rondinstrio de sapinshérissonPôle Expressjeu de damesfamille de bonhommes de neigeLui ne fait pas partie des décors de Noël, mais je le croise quand même chaque année sur le même muret!
(*) Cette année, les crèches et sapins sont installés dans le village de Saint Vincent la Commanderie jusqu’au 12 janvier 2025. Un jeu de piste a été créé pour les enfants. Il est accessible via un QR Code affiché sur la place du village.
Valence, Romans, Saint Vincent la Commanderie – Drôme décembre 2024
Il y a bien entendu plein d’autres endroits où la magie des fêtes est visible dans la Drôme. Je pense par exemple :
à la charmante saynète qui prend vie devant la mairie de Chabeuil et est sublimée lorsque les lumières s’allument à la tombée de la nuit
aux soirées de Noël sur le domaine de Valsoyo avec des animations et des spectacles aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur (j’y étais allée l’an dernier)
à tous les marchés de Noël qui se succèdent tout au long du mois de décembre
aux illuminations à Montélimar, où je n’ai pas eu le temps d’aller mais qui ont l’air très chouettes
dans les châteaux de Grignan et de Suze la Rousse, il va y avoir des animations durant les vacances de Noël qui s’annoncent très amusantes
ce n’est pas vraiment dans la Drôme, mais c’est juste à côté : au safari de Peaugres, tout l’hiver est installé un parcours de structures lumineuses de type lanternes chinoises, et j’espère bien avoir l’occasion d’y aller dans les prochaines semaine.
Domaine de Valsoyo – Upie – Drôme – décembre 2023
Et pour ceux qui bougeraient un peu vers d’autres régions lors de ces fêtes de fin d’année, j’ai quelques suggestions de décors de Noël magiques à vous faire. Elles correspondent à des expériences que j’ai testées ou que j’aimerais découvrir. La liste est bien entendu très loin d’être exhaustive et il y a très certainement des propositions magiques à côté de là où vous serez.
dans le Val de Loire, plusieurs châteaux se parent de décors splendides dans le cadre de l’opération Noël au pays des châteaux. J’ai eu l’occasion de découvrir Azay le Rideau il y a 2 ans et Villandry l’année dernière. J’aimerais bien en visiter un autre cette année, pourquoi pas revoir Chambord, Amboise ou Langeais…
en région parisienne, les décors féériques de Noël du château de Vaux le Vicomte me font de l’œil depuis quelques années maintenant
Alors que nous abordons la dernière quinzaine du mois de décembre, et que le compte à rebours pour Noël a déjà commencé, le projet 52 nous propose cette semaine de montrer nos lumières festives. J’ai eu un temps d’hésitation au moment de choisir mon sujet. En effet, je me suis demandé si j’allais plutôt vous montrer un petit bout des lumières à la maison ou un morceau des illuminations dans les villes alentour. Mais après avoir parcouru les rues de Valence et de Romans (je vous prépare un article complet dans les prochains jours), j’ai choisi de vous montrer le parvis de la gare de Valence Ville. Les fleurs lumineuses qui y sont installées sont un de mes coups de cœur de longue date : il me semble que je les ai vues pour la première fois en 2015 à Valence, elles sont déjà revenues au moins une fois, et je les ai également aperçues dans des magazines installées dans d’autres villes dont Lyon et Londres. Cette année, elles s’accordent particulièrement bien à la façade de la gare dont l’éclairage a été repensé.
Gare de Valence Ville – décembre 2024
Pour découvrir les lumières festives chez les autres participants, il suffit de suivre les liens dans les commentaires.
Nous voici à 2 semaines de Noël, et le thème chocolat pour le projet 52 ne tombe pas vraiment par hasard. Les jolies boîtes de bonbons de chocolat nous font de l’œil chaque fois que nous faisons les courses, et certaines rejoindront les pieds de nos sapins ou nos tables de fête. On trouve des papillotes partout, et les commerçants par ici commencent à en offrir à leurs clients. Bref, c’est la saison des chocolats de Noël. Et pourtant, j’ai choisi un autre sujet pour illustrer le thème.
En effet, cet automne, je suis allée revisiter la Cité du Chocolat Valrhona, à Tain l’Hermitage. Je vous avais d’ailleurs évoqué cette visite avec le thème Gourmandise. Je vous avais alors montré les petits carrés de chocolat que l’on peut découvrir et déguster tout au long de la visite. Mais il y a aussi des réalisations en chocolat plus complexes. C’est le cas de cette sculpture en chocolat représentant le dieu aztèque Quetzalcoatl qui aurait apporté le cacao aux Hommes.
Pour découvrir le chocolat sous toutes ses formes chez les autres participants, il suffit de suivre les liens dans les commentaires.
Depuis la rentrée, j’ai eu plusieurs occasions d’aller à Lyon. Depuis que je n’y vais plus quotidiennement pour le travail, j’y vais quelquefois le week-end pour profiter de la ville. En septembre, j’ai ainsi passé une journée en famille où nous avons fait une grande balade de la Presqu’île jusqu’à Fourvière et une journée entre amis où nous sommes allés à la découverte de la Croix Rousse depuis Perrache. Et en octobre, j’ai enfin pris le temps de découvrir le Musée des Confluences. Si vous cherchez des idées pour découvrir Lyon, j’en ai donc quelques-unes à vous proposer.
Lyon, vue depuis Fourvière. On remarque la cathédrale Saint Jean au premier plan, et la place Bellecour sur la droite.
Autour de la colline de Fourvière
Pour cette balade à la découverte de la colline de Fourvière, nous sommes partis de la Presqu’île où nous avions déjeuné et avons traversé la Saône, profitant de la vue sur le quartier Saint Georges. J’étais accompagnée de Mr 1er, rentré la veille du Canada, et de Melle 3e qui s’apprêtait à faire sa rentrée le lendemain. Nous avons donc choisi de ménager tout le monde et d’emprunter la ficelle, le funiculaire qui monte depuis le Vieux Lyon jusqu’au pied de la basilique Notre-Dame de Fourvière. Mais il est tout à fait possible de monter à pied par l’une des rues pentues ou des escaliers qui partent à l’assaut de la colline. Vous pouvez par exemple passer par les Jardins du Rosaire ou la montée du Gourguillon que j’aime beaucoup.
Le quartier Saint Georges depuis le pont sur la SaôneLa basilique de Fourvière et la cathédrale Saint Jean depuis les quais de Saône, côté Presqu’île
La majestueuse basilique Notre-Dame de Fourvière
Je pense que cela faisait plus de 10 ans que je n’étais pas entrée dans la basilique de Fourvière. Comme je n’y vais pas souvent, je la redécouvre complètement à chaque fois. Sitôt les lourdes portes sculptées passées, on pénètre dans un décor extrêmement riche de mosaïques. Sur les murs et les plafonds, les tesselles racontent des histoires et reflètent les lueurs des bougies. D’un côté, les scènes racontent la relation de Marie à la France et de l’autre le rapport de Marie à l’Eglise. On est forcément impressionné par la richesse et la majesté des décors.
Les portes de la basilique sont ornées de lions monumentauxLa richesse des mosaïques de la basilique s’étale littéralement du sol au plafond
Mais la basilique de Fourvière cache une seconde église. Sous l’église haute, une crypte aux dimensions tout aussi impressionnantes que celles de l’église principale accueille dans une semi pénombre les Vierges du monde entier. Son décor est nettement plus sobre. Dédiée à Saint Joseph, elle avait été pensée pour être l’entrée du sanctuaire, le pèlerin devant prier Joseph avant d’aller vers Marie, de l’obscurité vers la lumière.
Au fond de la crypte, l’autel dédié à Saint Joseph
Le parc des hauteurs, ceinture verte de la colline
Après la visite de la basilique, nous avons pris longuement le temps d’admirer la vue sur la ville depuis la terrasse panoramique et de chercher à retrouver « vu d’en haut », les lieux que nous connaissons. Puis, nous sommes partis en direction de la tour métallique (que certains appellent Tour Eiffel lyonnaise alors qu’il n’y a aucun lien avec le célèbre ingénieur). Au pied de celle-ci, nous avons passé le grand portail qui mène à la passerelle des Quatre Vents. J’avais découvert cette passerelle et sa jolie vue sur la basilique un peu par hasard lors de mon tout premier séjour lyonnais en 1996. Elle était le premier maillon du parc des hauteurs : un cheminement piéton qui fait le tour de la colline. La balade suit à cet endroit le trajet d’une ancienne voie de tramway qui permettait de relier le cimetière de Loyasse à Saint Paul, dans le Vieux Lyon. La promenade longe les jardins de plusieurs couvents et monastères (n’oublions pas que Fourvière est la colline qui prie), et passe en surplomb de l’ancienne piste de ski de la Sarra. On rejoint ensuite les jardins de la Visitation, pour continuer notre balade au vert.
Balade au parc des hauteurs. Faire cette photo m’a amusée car j’en avais fait plusieurs très similaires l’été précédent tout au long de notre voyage au Canada .
Lugdunum, vestiges de la cité gallo-romaine
Avant d’entrer dans les jardins de la Visitation, nous avons fait un léger crochet pour aller jeter un œil aux vestiges de l’aqueduc du Gier. Cet aqueduc servait à alimenter Lyon en eau à l’époque gallo-romaine en captant les eaux du Gier. Construit vraisemblablement sous l’empereur Trajan, peut-être achevé sous Hadrien, l’ouvrage était long de 85 kilomètres et présentait de nombreux aménagements d’envergure. Aujourd’hui, il reste certains de ces aménagements dont un pont-siphon et de nombreuses arches disséminées dans la campagne des Monts du Lyonnais, dont les 72 arches à la sortie du village de Chaponost. Sur Fourvière, on approche de la fin du parcours de l’aqueduc et quelques piles, à moitié englouties dans les constructions environnantes, sont encore visibles.
Vestiges lyonnais de l’aqueduc du Gier
Nous ressortons à l’autre bout des jardins de la Visitation, entrant sur le site des théâtres gallo-romains de Fourvière par un petit chemin boisé. De là, nous dominons à la fois le grand théâtre et l’odéon (un théâtre de plus petite dimension, qui servait aux orateurs). Nous descendons entre les deux monuments, jusqu’à gagner le pavage d’une ancienne voie romaine.
Vue sur le théâtre gallo-romain de Fourvière. Il est utilisé chaque année à la belle saison pour le festival de Fourvière. Sur la droite au milieu, on devine l’une des fenêtres du musée Lugdunum, semi-enterré et qui abrite les collections archéologiques de la ville.
Flânerie dans le Vieux Lyon
Pour redescendre vers les quais et la Presqu’île, nous avons emprunté la montée du Chemin Neuf. Nous avons profité d’une pause au jardin du belvédère pour admirer la vue sur la cathédrale Saint Jean, juste en contrebas. Nous avons ensuite flâné un peu dans le Vieux Lyon, jetant un œil aux devantures des boutiques, faisant quelques achats. Nous avons fini par aller prendre le goûter sur la Presqu’île chez Loutsa, un torréfacteur qui propose quelques gourmandises, avant de prendre le métro pour rejoindre la gare Part Dieu et attraper le train du retour.
Vue sur la cathédrale Saint Jean depuis la montée du Chemin Neuf
A pied, de Perrache à la Croix Rousse
Une autre fois, j’ai profité de la présence de Delphine, une copine à Lyon pour l’y rejoindre avec Charles, un autre de nos copains. Delphine ne connaissait pas du tout la ville et Charles, lyonnais pur souche, avait concocté un programme de découverte sur 2 jours. Je ne pouvais me joindre à eux que le samedi et le programme était de découvrir la Croix Rousse à partir de la place Bellecour, puis de rejoindre Confluence. Comme j’arrivais à la gare de Perrache et que j’étais un peu en avance, j’ai rejoint le lieu de rendez-vous place Bellecour à pied.
La République, sur la place Carnot, en sortant de la gare de Perrache
Balade sur la Presqu’île
Avant de retrouver Delphine et Charles, j’ai commencé par rejoindre le quartier d’Ainay. Cela faisait très longtemps que je n’étais pas allée dans ce coin de Lyon. Autour de la basilique romane Saint Martin d’Ainay, les nombreux immeubles bourgeois datent essentiellement du XIXe siècle quand le quartier est devenu un lieu de résidence privilégié de la grande bourgeoisie lyonnaise. L’église était malheureusement fermée lors de mon passage et j’ai une nouvelle fois regretté de ne pas pouvoir y entrer.
La place devant la basilique d’Ainay
Après nous être retrouvés, nous avons décidé d’un saut au passage de l’Argue pour acheter des parapluies. En effet, la pluie avait décidé de s’inviter à nos retrouvailles, et nous étions 2 sur 3 à ne pas l’avoir prévue. Comme toute notre journée était prévue à pied dans les rues de la Capitale des Gaules, il était impératif de trouver l’équipement adéquat. Nous avons ensuite parcouru les lieux les plus emblématiques de la Presqu’île pour les faire découvrir à Delphine qui n’était jamais venue. Au programme : la place des Jacobins avec sa fontaine, la place des Célestins avec le théâtre et le parking, l’opéra, la place des Terreaux avec la fontaine Bartholdi et l’hôtel de ville…
Le théâtre des Célestins et au premier plan à gauche la lunette qui permet de jeter un œil au miroir tournant du parking souterrain, sans doute l’un des plus beaux parkings que je connaisseLa fontaine des JacobinsL’opéra de Lyon et son agrandissement par Jean NouvelL’arrière de l’hôtel de ville, au pied de l’opéra
Montée sur la Croix Rousse
Depuis la place des Terreaux, nous avons commencé à partir à l’assaut de la colline de la Croix Rousse. Sur les pentes, les immeubles aux hauts plafonds étaient les habitations et ateliers des canuts. Dans chaque appartement, un métier à tisser Jacquard était installé, permettant à l’ouvrier de travailler au tissage des soieries qui ont fait la réputation de Lyon. Ce quartier est, à l’instar du Vieux Lyon, parcouru de traboules qui permettent de traverser les immeubles. Nous avons emprunté l’une des plus célèbres, qui mène à la Cour des Voraces. Elle doit son nom au groupe de canuts à l’origine de plusieurs révoltes ouvrières au cours du XIXe siècle et qui avaient le siège de leur association à cet endroit. Presqu’en ruines, bordées d’immeubles insalubres dans les années 1980, elle a fait l’objet d’une rénovation et d’une remise en état des appartements dans les années 1990 alors que le quartier était encore populaire.
Immeubles des pentes de la Croix RousseL’impressionnant escalier de la Cour des Voraces
Nous avons ensuite continué notre ascension en direction de la place des Tapis et du mur des Canuts. Cette fresque monumentale est la plus grande d’Europe et représente la vie du quartier. Sa première version date de 1987. Elle a été actualisée une première fois en 1997 puis en 2013 afin de coller aux évolutions de la société et de la configuration du quartier. Celui-ci a connu une phase de gentrification importante depuis le début des années 2000. Ancien quartier populaire, les pentes de la Croix Rousse ont vu la proportion de cadres y habitant augmenter de façon significative (presque 2 fois plus que sur le reste de la ville). L’installation de couples et de jeunes familles avec un pouvoir d’achat plus élevé s’est accélérée et la physionomie du quartier a changé en conséquence. On peut ainsi noter un nombre grandissant de friperies, boutiques à vocation culturelle ou encore de coffee shops tendance.
La fresque des canuts
Cela se ressent également dans la présence notable de street-art un peu partout sur les pentes de la Croix Rousse. De nombreux collages et graffiti continuent à envahir les murs. Les escaliers, très nombreux sur les pentes, se parent de couleurs. Ce quartier est devenu à la mode alors qu’il avait mauvaise réputation il y a une trentaine d’années. Je me souviens de la première fois où je suis venue à Lyon en 1996 (pour y faire un stage de 2 mois) : mes collègues m’avaient déconseillé d’aller sur les pentes avec ce commentaire « ça craint ! ». Décidément, les choses ont bien changé depuis.
Les pentes, ce sont des escaliers un peu partout !Et quand on se retourne, on peut avoir de jolis points de vue sur la ville, même un jour de pluieEscalier coloré de la montée des CarmélitesL’escalier Prunelle est le premier à avoir pris des couleurs dans le quartier, en 2015
Après cette balade croix-roussienne, nous sommes revenus sur la Presqu’île pour déjeuner rue Mercière (une rue bordée de restaurants) avant de revenir à pied vers Perrache. Delphine et Charles ont continué jusqu’à la Confluence pendant que je reprenais le train pour rentrer chez moi.
Le musée des Confluences
C’est ainsi que je me suis souvenue que je n’étais encore jamais allée au Musée des Confluences. Peu après, avec Mr 1er et Mr 2e, nous sommes montés à Lyon un dimanche pour déjeuner avec Melle 3e (qui y étudie depuis la rentrée). Comme eux non plus n’y étaient jamais allés, nous avons donc décidé d’aller découvrir le musée en famille. Bien sûr, je connaissais déjà le bâtiment que l’on ne peut pas manquer quand on arrive à Lyon depuis le sud par l’A7 en direction du tunnel de Fourvière. Je l’apercevais aussi régulièrement depuis le train en quittant la gare de Perrache. De près, le bâtiment conçu par l’agence d’architecture Coop Himmelb(l)au ne déçoit pas. Son allure de gros cristal fonctionne bien, et quand on le contourne, on découvre le bassin au dessus duquel il est construit, allusion à la confluence du Rhône et de la Saône toute proche. Je découvrais d’ailleurs aussi la Confluence côté terre après l’avoir découverte il y a un an côté fleuve lors d’une sortie en kayak.
Le bâtiment en forme de cristalUn bassin sous le muséela Confluence, côté terre
A l’intérieur, les zones de circulation, hyper lumineuses, contrastent avec les salles d’exposition aux murs peints en noir. Nous avons essentiellement visité les collections permanentes. Plusieurs immenses thématiques interrogent le monde. La salle des Origines mêle les squelettes de dinosaures et autres fossiles aux mythologies asiatiques, aborigènes et inuit. La salle Espèces s’attache au vivent qu’il soit imaginaire ou réel, entre Sphinx et animaux empaillés. La salle Sociétés porte le regard sur la création technique humaine des origines à nos jours, la mettant en parallèle des ressources naturelles. La salle Eternités s’intéresse au rapport à la mort dans différentes civilisations. Si l’ensemble des artefacts présentés est de qualité, j’ai parfois eu du mal avec les choix de scénographie et de mise en résonnance des objets. Et si la mise en lumière est très bien réalisée, j’ai trouvé que les outils de médiation étaient parfois un peu « légers » et manquant de consistance et j’ai eu du mal à trouver la cohérence scientifique dans le propos tenu (changement de paradigme dans une même salle ou dans une même exposition, sans explication). Sans aucun doute, c’est un musée qui gagne à être visité accompagné d’un médiateur.
papillons et coléoptères – une de mes scénographies préférées dans le muséesculpture du Nunavut, qui nous a rappelé la visite du Musée de l’Histoire du Canadaquelques squelettes de dinosaures, là aussi clin d’œil aux musées canadiensle genre de mise en résonnance qui m’a laissée perplexe : poteries antiques et accélérateur de particulesJeu de miroir pour le SphinxJeu de rayures pour le tigre
Lyon – Rhône – septembre/octobre 2024
(*) Le musée des Confluences propose une exposition permanente et plusieurs expositions temporaires en parallèle. Un arrêt de tramway « Musée des Confluences » se situe pile devant le musée : le trajet est direct depuis les gares de Perrache et de Part Dieu. Les conditions de visite sont à retrouver sur le site du Musée des Confluences.
L’exposition Play Play Play de photos de William Klein au Musée d’Art Contemporain de Montélimar est proposée depuis déjà plusieurs mois. Plusieurs personnes m’en avaient parlé et j’avais très envie d’aller la voir. Mais je voyais aussi les semaines défiler sans y aller. Alors, j’ai profité d’un changement de plan un dimanche après-midi pour m’y rendre avec Mr 2e. Nous connaissions déjà le MAC de Montélimar pour y avoir déjà vu quelques expositions mais cela remontait déjà à plusieurs années.
« Donnez lui rendez vous au musée » – Ben Souvenir d’une exposition passée
Dès l’entrée, nous avons été frappés par la façon dont les lieux ont été utilisés, dont les perspectives ont été mises en scène pour servir le propos de l’exposition. C’est une rétrospective complète du travail photographique de William Klein qui est proposée : de ses premiers photogrammes non figuratifs, jusqu’à ses photographies parisiennes des années 1990/2000 en passant par ses livres sur New York, Tokyo, Rome ou la Russie, les photos de mode et de sport mais aussi abordant sa période de cinéaste. Nous avons vraiment apprécie cette exposition, tant le choix des œuvres présentées que la façon dont elles étaient mises en scène.
Play Play PlayPhotogrammes de William Klein Le photogramme est une technique où l’on vient directement projeter un objet sur une plaque sensibleQuand la mise en scène répond parfaitement aux œuvresA la lisière de la photo et du graphisme, William Klein a collaboré plusieurs années avec le magazine italien DomusTravail sur le minimalisme photographiqueExhale – New YorkA New York, le photographe expérimente, force le grain, recadre encore et encore…J’ai particulièrement aimé comment William Klein a su retranscrire l’effervescence des rues de TokyoRéférence à Un barbare en Asie d’Henri Michaux, un vieux souvenir de lecture scolaire… (C’est d’ailleurs assez amusant comment les lectures de mes années de prépa reviennent me faire des clins d’œil ces derniers temps…. )Les photos de mode et les contacts peints, œuvre hybride entre la photographie et la peinture mais aussi le cinéma
William Klein – Play Play Play Musée d’Art Contemporain – Montélimar – novembre 2024
(*) L’exposition William Klein – Play Play Play est visible jusqu’au 6 janvier 2025 au Musée d’Art Contemporain de Montélimar. Les informations sur les jours et horaires d’ouverture sont à retrouver sur le site internet de Montélimar Agglo. L’entrée est gratuite pour tous.