[coin lecture] Même les méchants rêvent d’amour

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Même les méchants rêvent d’amour – Anne-Gaëlle HUON
 
Ce livre était celui de ma box surprise de Noël (mon libraire prépare des box surprises à Noël où un livre est accompagné de petites choses : du thé, du chocolat, de la jolie papeterie…. il propose aussi des pochettes surprises avec juste un livre). J’aime l’idée de laisser le hasard choisir un livre pour moi…. Le seul indice que j’avais en l’achetant était « transmission familiale ».
Je l’avais mis de côté depuis, attendant le bon moment pour le lire. Ce moment est arrivé en début de mois, alors que mon fils se faisait opérer des dents de sagesse et que j’allais donc avoir quelques heures à attendre entre les murs ternes d’une chambre de clinique.
Je crois que ce roman m’attendait vraiment pour cette situation : je l’ai lu d’une traite, sans m’ennuyer, sans voir le temps passer… et quand mon fils est revenu, il me restait moins de 10 pages à lire ! L’histoire de Julia, Jeannine, Félix, Antoine et les autres m’a transportée dans la douceur de la Provence en arrière-saison, mais surtout j’ai été touchée par le récit.
 
Jeannine perd peu à peu la mémoire alors elle écrit ses souvenirs avant qu’il ne soit trop tard. Julia, sa petite fille, trouve le carnet alors qu’elle vient voir sa grand-mère, installée en maison de retraite après une mauvaise chute qui a accéléré le processus de perte de mémoire. Petit à petit, Julia assemble les pièces du puzzle de la vie de sa grand-mère et au fil des rencontres recompose aussi sa propre vie.
On est clairement dans un roman feel-good. Mais un joli roman, bien écrit, qui se laisse lire comme on dégusterait une pâtisserie au goût de bonheur.

[Drôme] balade printanière sur les bords du Rhône

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Ma première sortie orchidée de l’année a eu lieu à Bourg-lès-Valence, sur les bords du Rhône. Cela a aussi été l’occasion d’une jolie promenade le long du fleuve.

Au départ du barrage, j’ai longé la rive en direction de la Roche de Glun. Si, sur les pelouses de très nombreuses orchidées poussaient, on remarquait aussi l’arrivée du printemps dans les arbustes. Quelques-uns étaient en fleurs tandis que les chatons des autres commençaient à s’épanouir.

J’ai également aperçu quelques pieds de jonquilles dont la couleur jaune se détachait bien… Quant aux petits muscaris, ils pointaient leurs clochettes bleues par petits groupes épars.

Sur le fleuve, quelques péniches attendaient le passage de l’écluse… Et de l’autre côté, le massif de Crussol imposait sa silhouette dans le paysage.

Cette petite promenade tranquille m’a permis de profiter d’une belle matinée de fin d’hiver / début de printemps. Une jolie petite parenthèse dans la course du quotidien….

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Futurs chatons

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Groupe de muscaris

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La silhouette de Crussol

Bourg-lès-Valence – Drôme – mars 2020

[en cuisine] un gâteau au chocolat ultra-fondant

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Pendant les vacances scolaires, Melle 3e était en stage d’équitation et un soir, elle est rentrée en me disant qu’il lui fallait un gâteau au chocolat pour le lendemain.

Un peu prise au dépourvu et ne souhaitant pas y passer trop longtemps, j’ai repensé à ce gâteau au chocolat que je n’avais pas réalisé depuis longtemps… et qui est toujours apprécié lorsque je le fais. En effet, il est très chocolaté, développe une légère croûte et sa texture est ultra-fondante.

En plus, il a l’avantage de ne pas utiliser d’ingrédients compliqué. Il est donc facile de toujours avoir sous la main de quoi le préparer ! Quant à sa préparation, elle est simplissime.

Et si on veut, on peut ajouter une poignée de noisettes ou d’amandes concassées pour le transformer en brownie, ou un peu de crème pour l’adoucir un peu.

Ingrédients :

100 g de chocolat noir
125 g  de beurre
200 g de sucre
2 (gros) œufs
50 g de farine
2 cuillères à soupe de cacao
1 sachet de sucre vanillé

Et après ? 

Préchauffer le four à 150 °C  (thermostat 5).
Faire fondre le beurre d’une part et le chocolat.
Ajouter le sucre, les œufs, la farine, le cacao et le sucré vanillé. Bien mélanger.
Verser dans un moule et enfourner pour environ 30 minutes.

[fourre-tout de la semaine] 15 mars 2020

Suite aux annonces faites hier soir par le Premier Ministre, je me suis demandée s’il était pertinent d’évoquer un café, une exposition, une balade en ville….
Puis, je me suis dit qu’il reviendrait un jour où nous pourrons de nouveau sortir dans les restaurants, les musées et les cinémas… Et que ce jour-là, finalement, les idées que j’aurai pu déposer par ici seront toujours valables !
J’ai toutefois repris un peu l’ordre des publications (qui suivait un ordre plus ou moins chronologique initialement) : j’ai plus envie de vous parler de balades en pleine nature et d’activités à faire à la maison (lecture, cuisine..) dans les prochains jours. Mais tous les billets déjà écrits sortiront dans les semaines qui viennent….

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Pendant les vacances, je suis allée prendre un goûter au Tamper & Yummy, un nouveau salon de café qui a ouvert à Valence.

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Golden latte, cookie et lunettes à la framboise

(*) Tamper & Yummy, 16 rue Dauphine, 26000 Valence

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Le printemps commence à pointer le bout de son nez….

[projet 52-2020] semaine 11 – en surface

En regardant le thème de la semaine, je me suis clairement demandée à quoi j’avais bien pu penser en le proposant ! Très honnêtement, je crois que je n’avais absolument aucune idée de comment l’illustrer à ce moment-là.

En y réfléchissant, j’ai pensé à l’écume en surface des vagues ou de l’eau des pâtes, à un peu de glace en surface d’une flaque (ce qui n’est pas vraiment arrivé cet hiver !), à un nénuphar en surface de l’eau d’un bassin, à une feuille flottant en surface d’un ruisseau, à une décoration de sucre ou de chocolat en surface d’un gâteau, à un rayon de soleil réchauffant le sol en surface ….

Puis j’ai croisé un reflet en surface d’une flaque… où toute la forêt semblait s’être donnée rendez-vous entre les brindilles et feuilles mortes qui affleuraient.

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Pour découvrir ce que l’on trouve en surface chez les autres participants, il suffit de suivre les liens dans les commentaires…

[Paris] flânerie montmartroise

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De passage à Paris, j’ai eu besoin de me dégourdir les jambes après une grosse journée de travail…  Je suis donc partie à l’assaut de Montmartre et de ses marches….

Arrivée par le métro, je suis descendue à la station Anvers. De là, le Sacré Coeur en ligne de mire, impossible de se tromper de chemin : c’est tout droit ! Au pied de la butte, j’avise le funiculaire et les escaliers. Comme je suis venue là parce que j’ai besoin de marcher, je me lance à l’assaut des escaliers. 222 marches plus tard, je suis au pied de la basilique et Paris semble s’étaler à mes pieds.

Mais les lieux sont fort fréquentés, un peu trop touristiques et donnent finalement peu envie de s’y attarder. Mon regard se porte toutefois sur un immeuble haussmannien paré de rouge qui émerge au coin d’une pelouse en pente. Je reconnais l’une des vues stars parisiennes sur Instagram : si l’on rectifie l’horizon le long de la pente herbeuse, l’immeuble semble en train de s’enfoncer dans le sol. Je fais rapidement une photo car j’ai envie de voir si je réussis moi aussi à reproduire l’effet (trêve de suspense : la réponse est oui, j’y suis parvenue !).

Je contourne le Sacré Coeur par la gauche, m’éloignant du Montmartre touristique. Je croise plusieurs volées d’escaliers. Le printemps commence à pendre ses marques dans les arbustes des jardinets qui les longent.

J’arrive à l’arrière de la grande église. Je ne croise plus que des habitants du quartier venant récupérer leurs enfants à la crèche ou à la garderie.

Le soleil décline, et dore les immeubles. Les rues pentues bordées d’immeubles Art Déco succèdent aux villas. Les vignes n’ont pas encore retrouvé leurs feuilles. Et la bicoque qui héberge le Lapin Agile semble sortie d’un autre temps, vestige d’une époque où les immeubles voisins n’existaient pas et où Montmartre était un quartier de bohème.

Je descends la rue des Saules et je quitte la Butte Montmartre. La journée s’achève… Il est temps pour moi d’aller me reposer…

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Le fameux « immeuble qui tombe »….

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Escaliers montmartrois

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Basilique du Sacré Coeur

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Rue du Mont Cenis

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Rue des Saules

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Le cabaret « Au lapin agile »

 

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Porte d’immeuble dans les escaliers de la rue des Saules

Butte Montmartre – Paris – février 2020

[coin lecture] Chicago

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Chicago – Marion RICHEZ
C’est le hasard qui m’a mis sur le chemin de ce livre. En me promenant dans Paris sans véritable but, je suis entrée dans une librairie. Ce n’était pas la première librairie que je croisais mais celle-ci a eu un quelque chose qui m’a attirée, peut-être les ouvrages présentés en vitrine, peut-être la lumière toute douce à l’intérieur…
Sur une table, la sélection de la libraire (une jeune femme féministe, si j’en crois ses mises en avant… ) avec des petits mots posés sur les ouvrages. Parmi ceux-ci quelques-uns que j’ai déjà lus, et puis plusieurs dont je n’ai jamais entendu parler. Je regarde ces derniers plus attentivement et Chicago semble m’appeler…
Je ne sais même pas dire pourquoi j’ai choisi ce petit opus parmi les autres livres : peut-être les petits coeurs rehaussés de surligneur qui accompagnaient le bref mot de la libraire, peut-être la simplicité de la couverture, peut-être la douceur du papier….
Je l’ai lu très vite dans le train qui me ramenait chez moi, ce très court petit roman… et après l’avoir refermé, je me suis demandé si ce n’était pas plutôt un long poème que j’avais lu…Ramona, une jeune franco-anglaise, arrive à l’université de Chicago comme lectrice de français. Elle prends le pouls de la fac, le pouls de la ville, le pouls de la vie…. Et elle croise par hasard Jonathan à un concert, puis à un autre. Ils échangent quelques mots. Il lui présente Suzanne qui l’accompagne. Entre ces trois-là nait une amitié qui ne s’embarrasse pas du passé, qui ne s’inquiète pas de l’avenir et se nourrit de la simplicité du présent partagé….Les mots de Marion Richez sont aussi doux que le papier sur lequel ils sont imprimés. Ils sont justes. Ils sont mélodieux. Ils portent l’amitié de Ramona, Jonathan et Suzanne…. Il ne se passe rien et pourtant il se passe tout dans cette centaine de pages.

Moi aussi, j’ai envie de mettre à ce roman un petit bandeau avec plein de coeurs rehaussés de surligneur.

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[Ardèche] curiosités géologiques

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Alors que j’étais déjà allée au Pont aux Etoiles seule, j’y suis retournée avec Mr 2e. Le soleil brillait lors de notre passage et c’est avec un réel plaisir que nous y avons passé un long moment, cherchant les plus beaux spécimens !

Le Pont aux Étoiles a la particularité de présenter un important gisement fossilifère . On y trouve en particulier des fossiles de lys de mer, ou crinoïdes (ce sont eux qui ont une forme d’étoile) et de rhynchonelles (ceux-là ressemblent à des coques). Le gisement a été mis à jour lors de la construction de la route et du pont, entre Rompon et La Voulte sur Rhône, au cours du XIXe siècle. Le lieu est situé à proximité immédiate de la faille géologique de La Voulte.

Sur une cinquantaine de mètres, la falaise calcaire s’érode, libérant de très nombreux fossiles : il suffit littéralement de se baisser pour les ramasser… juste au bord de la route.

La datation de ces fossiles les situe il y a environ 165 millions d’années ! A cette époque, la zone était recouverte par la mer, ce qui explique que nous y trouvions des fossiles marins. D’ailleurs un peu plus bas, l’ancienne mine de la Boissine recèle une remarquable faune jurassique de milieu marin profond.

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La falaise fossilifère du Pont aux Etoiles

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Le pont et la route dont la construction ont permis la découverte du site au XIXe siècle

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Fossiles de lys de mer dans la falaise

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Fossile de rhynchonelle dans la falaise

Pont aux Etoiles – Rompon – Ardèche – février 2020

 

 

(*) – Le Pont aux Etoiles est situé sur la D365, entre La Voulte sur Rhône et le hameau Celle-les-Bains de Rompon. La falaise fossilifère se trouve au niveau… du pont ! Un petit parking est aménagé près du pont, côté Rompon. Des panneaux explicatifs (lecture de paysage, fossiles) sont disponibles à proximité du site.
– La récolte des fossiles est autorisée sur le site du Pont aux Etoiles à condition de se faire sans outil dans les marnes déjà érodées et de se limiter à de petites quantités.

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Non loin de Rompon, à Celles-les-Bains, des sources thermales émergent (tout comme à Saint Georges les Bains). Connues depuis l’Antiquité, réputées aux XVIIe et XVIIIe siècle, elles ont été exploitées au XIXe avec la station thermale construite par le Docteur Barrier. Celle dite du Puits Artésien est facilement accessible depuis la route, à une cinquantaine de mètres à la sortie du village. Elle a la particularité de jaillir au coeur d’un tronc d’arbre pétrifié, dans les ruines des anciens thermes.

Lors de notre passage, nous n’avons pas eu de chance car la source est intermittente et l’eau ne coulait pas…. mais son aspect ferrugineux ne faisait aucun doute à voir la coloration d’oxyde de fer dont l’eau a recouvert le fond de son parcours !

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Source du puits artésien de Celles-les-Bains

Celles-les-Bains – Ardèche – février 2020

[Ardèche] la pâtisserie INTENSE, par Bastien Girard

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La pâtisserie Intense a ouvert ses portes en début d’année à Tournon. Derrière les créations de la boutique, on trouve Bastien Girard.

Bastien a été sacré champion du monde de la pâtisserie lors du SIRHA en 2017 avec l’équipe de France. Il était alors en charge de toute la partie chocolat de la création de l’équipe. Après différentes expériences professionnelles, il est revenu à Tournon d’où il est originaire afin d’y installer une pâtisserie-salon de thé.

Cela faisait un moment que j’avais noté d’aller y faire un tour, alléchée par les jolies photos des créations que je voyais passer sur les réseaux sociaux. J’ai donc profité de mes derniers congés pour m’y rendre.

En plein coeur de la vieille ville de Tournon, la boutique est lumineuse et accueillante. L’étalage des pâtisseries donne envie de tout goûter… C’est d’ailleurs un peu le souci ! Déjà que j’ai du mal à choisir habituellement, quand en plus tous les gâteaux ont l’air délicieux et que je n’en ai encore testé aucun, c’est d’autant plus compliqué….

Mon idée de départ était d’acheter une pâtisserie « grand format » pour déguster le soir en famille. Déjà, en ce matin de semaine, le choix est plus restreint que pour les pâtisseries individuelles. Je me décide pour Thimothée (caramel / cacahuète / fromage blanc) qui devrait convenir à tous les goûts.

Ma curiosité (pourquoi certains ont-ils pensé gourmandise ? ) me pousse à choisir aussi des pâtisseries individuelles pour le dessert du midi. J’opte pour Jane (cheesecake aux fruits exotiques) tandis que mon fils choisit Philippe (tarte pomme verte).

Le salon de thé semble nous tendre les bras… alors nous craquons (oui, j’admets que là, c’est sans doute un peu de la gourmandise) : Mr 2e pour un chou vanille et moi pour la forêt noire qui répond au doux nom de Cerise, avec un thé pour les accompagner. Nous nous installons… et profitons ! Si le chou vanille n’a pas complètement emballé Mr 2e (qui a des souvenirs d’autres choux vanille, plus à son goût), j’ai été conquise par Cerise… Le cerise est fruitée sans être trop sucrée tandis que le chocolat de la crème et du biscuit est très cacaoté. L’alliance cerise/chocolat en bouche est très réussie, pleine de pep’s.

Thimotée non plus ne nous emballera pas. Si la mousse au fromage blanc légèrement acidulée et le caramel au beurre salé hyper fondant sont vraiment réussis, nous avons trouvé que le goût de la cacahuète n’était pas assez marqué et qu’en dehors de son côté un peu crunchy, elle n’apportait pas de caractère à l’ensemble (qui demeure vraiment très bon tout de même !).

J’ai eu un coup de coeur pour Jane. Le cheesecake n’est pas trop sucré, apporte juste ce qu’il faut d’onctuosité sous la compotée de fruits exotiques. Il est posé sur une pâte sucrée croustillante et savoureuse.

Dans le même style, Philippe, la tarte aux pommes, est un délicat équilibre en l’acidulé de la pomme verte, la crème vanillée…. posés une fois encore sur cette exquise pâte sucrée.

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Cerise au salon de thé…

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Chantilly déposée en forme de sapin sur Cerise

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Thimothée

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Jane au premier plan et Philippe en arrière-plan

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Philippe

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Jane

Pâtisserie Intense – Tournon – Ardèche – mars 2020

 

(*) Pâtisserie Intense, 5 rue Gabriel Faure, 07300 Tournon

[fourre-tout de la semaine] 8 mars 2020

Ma semaine de vacances a commencé par une petite journée à Grenoble pour raccompagner Mr 1er qui avait cours cette semaine… J’en ai donc profité pour quelques visites de musée/expo mais aussi pour un dessert à la Fabrique Givrée et une pause thé au Neko Café, histoire de faire coucou à Marcel et ses copains !

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Sorbet Passion / Fève Tonka – Glace Praliné Sésame blanc / Sésame noir

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Marcel, le Sphinx

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Madeleine, la Maine Coon

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Marguerite, la devon rex

 

(*) La Fabrique Givrée, 3 Grande Rue, 38000 Grenoble
(**) Neko Café, bar à chats, rue Jean-Jacques Rousseau, 38000 Grenoble

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Avec un bouquet de jonquilles, j’ai essayé de faire entrer un peu de soleil dans la maison pour contrer la pluie qui tombait dehors…

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Les matins se sont succédé sans se ressembler en allant déposer Melle 3e à son stage d’équitation…. Il y a eu des jours de pluie, des jours gris mais aussi du soleil !

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Rapide passage à Tournon, où le niveau du Rhône est relativement haut…

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